Notes


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TRICOT, Louis X PERET, Laurence
Témoins au mariage :
1- TRICOT Gabriel (____-____)


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ROSCONVEL, Mauricette
Témoins à son décès: Mathieu, Nicolas, Rose, Claudine et Jacquette Le Bras ses enfants

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GUITOT, Ambroise X JULLOU, Hervé
Témoins au mariage :
1- GUITOT Louis (____-1713)


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BOTOREL, Yves X PIRIOU, Jeanne
Témoins au mariage :
1- GUILLAMOT Catherine (____-____)


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BOTOREL, Nicolas X GUILLAMOT, Catherine
Témoins au mariage :
1- BOTOREL Yves (~1673-1742)


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PIRIOU, Olivier X MARCHADOUR, Jeanne
Témoins au mariage :
1- PIRIOU Jeanne (____-____)


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BOUDIGOU, Jean
Marin de la Marine Royale comme son frère Henri:
Extraits du registe matricule (Archives de la Marine à Brest)
1776: "Levé" le 30 juin pour Lorient. Il fait 30 jours sur le vaiseau "La Victoire" et reçoit 2 livres 8 sols
1778: ll est levé le 20 janvier pour Brest, et embarque sans dout sur l'un des vaisseaux qui participe à la "Bataille d'Ouessant", première bataille navale qui sui l'engagement des français aux cotés des insurgés américains.
1779: "au service",
1780: 24 juillet "au service",
1782: la mention "mort sur le Glorieux" est barrée.
1783: mis en congé le 1er mars avec 6 livres,
1784: levé pour Brest le 20 mai,
1785: sur le vaisseau "la résolution",
1787, mis H.S. pour cause d'hernie ventrale, mais en marge de la page il est écrit "bon, n'est pas mort"

Nota: Le Glorieux est un vaisseau de 74 canons, commandé par le Vicompte Des Cars, qui participe à la campagne d'Amérique sous les ordres de l'Amiral De Grasse.
Il fait partie de l'escadre Blanche et Bleue (Chef: Bougainville) qui quitte Brest avec l'escadre Bleue, l'escadre Blanche (chef: le Lieutenant Général de Grasse), et l'escadre légère (Chef: le commandeur de Suffren), le 22 mars 1781.
Le 29, l'escadre légère quitte le convoi et prend la route des Indes.
Passage du tropique le 18 avril.
Eclipse de soleil le 24 avril.
Première bataille navale le dimanche 29 avril entre Le Diamant et Ste Lucie. 23 vaisseaux français contre 18 anglais. Résultat indécis.
En août, après une incursion jusqu'à Cuba pour y soutenir une intervention espagnole, la Flotte met le cap vers la Virginie. Le 30, Le Glorieux, et les frégates l'Aigrette et la Diligente chassent deux voiles qui étaient à l'entrée de la Rivière York à proximité du Cap Henry. L'Aigrette s'empare de l'une des "voiles": C'est une corvette de 18 canons. l'autre est une frégate que le Glorieux et la Diligente ne peuvent pas rejoindre. Pendant cette poursuite, une bataille navale a lieu à l'entrée de la baie de Cheasapeake.
En effet, le 5 septembre, alors que l'escadre française débarque des troupes sur le côte à Williamsbourg, situé entre les rivières York et James afin de renforcer les troupes qui bloquent Yorktown, et que 1800 matelots et 80 officiers sont occupés à cette tâche, on signale des voiles ennemies. C'est une flotte anglaise qui sousestime le nombre de navires français, qu'elle prend pour une autre escadre française qui arrive de France. En une heure tous les vaisseaux sont sous voile, et la bataille s'engage.Les anglais ont 5 de leurs vaisseaux très maltraités, au point qu'ils sont obligés de mettre le feu au Terrible, vaisseau de 74 canons, qui ne peut plus tenir la mer.
Pendant cette bataille, l'escadre de 8 vaisseaux attendue par les anglais, se glisse dans la baie de Cheasapeake et débarque munitions et renforts.
Le Glorieux et la Diligente rejoignent bredouille l'escadre le 10 septembre.
Le 30 septembre, 800 hommes des garnisons des vaisseaux sont débarqués sur la rive gauche de la rivière York, pour renforcer les troupes qui bloquent le poste de Cloucester. Le 19 la garnison anglaise de Yorktown capitule.
L'armée navale quitte la baie de Cheasapeake le 4 novembre. Elle est composée de 33 vaisseaux de guerre. Elle arrive le 25 en vue de la Martinique.
Le 18 janvier 1782, alors que la flotte est en opération à Basse Terre, le Glorieux, accompagné de la frégate l'Iris, en croisière du coté de Nièves, s'emparent d'un bâtiment de 16 canons. Le 24, le Glorieux, qui patrouille dans le même coin signale des voiles étrangères.
Le 25 janvier, l'armée navale française cherche le contact avec les anglais. De Grasse pique au centre de la ligne anglaise. Le Glorieux est juste devant le Ville de Paris, qui est suivi du Sceptre. A 2 heures de l'après midi la bataille commence. Très vite le Gorieux, pris à partie par plusieurs vaisseaux anglais est terriblement maltraité. Il perd beaucoup de monde, une trentaine de tués. Il est obligé de se retirer de la ligne de feu. La bataille est indécise.
En réalité, il s'agit, pour les anglais, d'une diversion pour leur permettre de débarquer des toupes et de reprendre le fort du Réduit à Basse Terre . La bataille navale se poursuit plusieurs jours, pendant que les combats à terre sont sanglants. Finalement, les ennemis rembarquent le 28 janvier.
Le 26 février on apprend que l'amiral anglias Rodney est arrivé aux antilles avec un renfort de vaisseaux qui faitévoluer le rapport des forces en leur faveur, d'autant que plusiers navires français sont en réparation. Le 9 avril à lieu une bataille navale indécise qui continua plusieurs jours durant, ponctués d'accrochages violents.
Le 12, une grande bataille navale s'engage dès 8 heures du matin. Le vent est faible et vient de la ligne anglaise. Les vaisseaux français ont du mal à manoeuvrer. Vers 9 heures, les anglais coupent la ligne française entre le Diadème et le Glorieux. Ce dernier ci se retouve complètement dématé; il a perdu son commandant M. Des Cars. Trois vaisseaux anglais à trois pont traversent la ligne française en prenant les navires français en enfilade. Le Glorieux ne manoeuvre plus. Il est pris en remorque par la frégate Richemond.
Vers 2 heures de l'après-midi, l'escade anglaise se regroupe et fonce sur le Glorieux et le Richemond. Le Richemond est obligé de larguer la remorque. Le Glorieux est bientot obligé d'amener son pavillon. La bataille est perdue.Dans la soirée, le vaisseau amiral, le Ville de Paris, isolé des autres navires, est obligé d'amener son pavillon, et l'amiral De Grasse est fait prisonnier. Les français perdent aussi le César, l'Hector, l'Hercule et l'Eveillé.



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BONIZEC, Estienne
témoin à son décès: Pierre Le Bonizec, son frère, Yves Donnars, François Lucas

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HELIAS, Yves X JACQ, Catherine
Témoins au mariage :
1- HELIAS Hervé (____-____)


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HÉLIAS, Jean X LE DONGE, Marie
Témoins au mariage :
1- HÉLIAS Renée (~1682-1759)


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